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ISTAMBOUL
Constantinople, Byzance, Istamboul. | ||||
Nous sommes déjà loin de chez nous et nous nous émerveillons de la beauté de la mosquée bleue, | ||||
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de sainte Sophie, des mille merveilles des souks, le port sur le Bosphore où nous faisons un régal de poissons grillés. | ||||
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C'est déjà un autre monde ; nous y entrons sans retenue, nous nous laissons porter par la magie, l'exotisme. Nous ne nous sentons pas touristes. A 20 ans on s'étonne, on prolonge l'adolescence. | ||||
Nous déambulons au marché aux épices, noyés dans les parfums et sous le pont de Galata où l'on croise les fumeurs de narguilé. | ||||
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Nous rencontrons et partageons notre projet avec ceux qui ont pris la route, ceux qui n'iront pas plus loin, et ceux qui roulent en voiture, en train, en stop pour les plus audacieux. Ils comptent sur les camions qui leur permettent de faire des kilomètres d'une frontière à l'autre. | ||||
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Et aussi le cireur de chaussures qu'il ne faut pas confondre avec les cireurs de pompes. | ||||
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Le vocabulaire avec les commerçants est toujours le même, quelques mots d'anglais pour capter l'attention du touriste. Ce séjour à Istanbul est un peu comme une immersion et nous introduit déjà un peu en Orient. La transition se fait de manière douce contrairement à d'autres que nous rencontrerons en Inde et qui auront fait le voyage en avion. Et là pour eux ce sera le choc. Certains nous raconterons qu'ils resteront deux jours dans leur hôtel avant de descendre dans la rue. | ||||
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Et pour nous de l'autre côté du Bosphore, il y a l'inconnu. |
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